Gérard Pourcel

Bourse(s) déjà obtenue(s)

• Prix de la Plume saguenéenne en 1984 pour la nouvelle « Pas de café pour Émile ».

Membre d’une association

• UNEQ (Union des écrivaines et écrivains québécois) APES (Association professionnelles des écrivains de la Sagamie) membre fondateur et membre d'honneur

Spécialités et services offerts

Pour un public restreint, tout juste une trentaine de personnes, j'offre la possibilité de discuter des trois livres que j'ai édités de manière professionnelle. Ce qui se distingue de l'autoédition pour laquelle il n'y a pas de garantie éditoriale d'un éditeur agréé par le ministère de la Culture. On peut discuter de mes livres en général ou de leurs nouvelles en particulier. Je peux aussi lire une des nouvelles, au choix du public, et discuter par la suite, de son écriture, de son style, du sujet abordé. Ces derniers sont nombreux, la sensualité, l'érotisme, le sexisme, l'exclusion, l'exotisme du sud... Je peux aussi aborder la biographie, à partir de celle de Ninon Labrie que j'ai rédigée.

Récentes réalisations

Mes nombreux voyages ont nourri mon imaginaire, ce qui s’est concrétisé dans mon premier recueil de nouvelles, Le Dernier été balkanique (Éditions JCL), où la nouvelle éponyme se déroule en Europe de l’Est, à l’époque de l’ex-Union soviétique. Au soleil de Cuba, j'ai a écrit mon deuxième recueil, Chroniques d’une mémoire infidèle (Éditions de La Pleine lune). Mes onze nouvelles nous transportent de la Côte-Nord au Village gai de Montréal, au Mexique, en passant par Cuba et le Maroc ; un parcours au cœur d’une humanité livrée à ses passions, ses idéaux, ses sentiments nobles et moins nobles, le tout imprégné de sensualité, de séduction et de désirs…Je force le destin de mes personnages fictifs, mais si vrais, dans leurs zones d’ombre, sans pour autant les juger. Outre mes publications individuelles, depuis près de 40 ans, j'ai signé plusieurs nouvelles et textes dans des collectifs publiés chez divers éditeurs, JCL, XYZ, Modulo, Tire-Veille, Liroli (France), Apogée (France) et aussi dans la revue littéraire de la Côte-Nord Littoral. Fasciné par le destin atypique d’une « petite sauvagesse » de trois ans, orpheline et adoptée par la famille aisée d’un directeur d’usine hydroélectrique, à la fin des années trente, j'ai aussi mis mon clavier au service de Ninon Labrie, pour publier sa biographie aux Éditions GID, De Pessamit à Jérusalem, une Innue raconte. La jeune Innue fera des études chez les religieuses. Adulte, elle a beaucoup voyagé et affronté les revers de la vie avec une foi sans faille. Alors athée, je suis entré respectueusement en douceur dans l’âme de cette femme extraordinaire. Je m'intéresse aussi à l’art du haïku. Ce n’est pas la nature en tant que telle qui m’inspire, mais la nature humaine au sein de laquelle je traque avec un esprit corrosif nombre de ses travers. Je n'ai pas encore publié en solo, mais j'ai collaboré à des ouvrages collectifs.