La communication organisationnelle est à deux niveaux : interne et externe. On ne communiquera pas de la même façon avec nos collègues de travail qu’avec nos partenaires et encore moins avec les médias.

Il est donc important de se prévaloir d’une ligne directrice en matière de communication qui dictera les façons de livrer les messages selon l’auditoire qui les reçoit.

Vous aurez plus d’informations sur les communications dans la section Communications et promotion.

Si vous avez besoin d’un accompagnement pour gérer vos communications, n’hésitez pas à communiquer avec nous !

D’abord, pourquoi on communique ?

  • Recruter de nouveaux membres ou des bénévoles?
  • Faire connaître ses activités et ses réalisations, les services offerts?
  • Rendre accessible et faire circuler l’information, la vulgariser?
  • Sensibiliser le public et attirer son attention sur une situation injuste, y apporter des correctifs, proposer des solutions?
  • Défendre une cause, un dossier, une position sur la place publique?
  • Pour informer ou consulter ses membres, ses administrateurs, ses employés, ses bailleurs de fonds?
  • Augmenter sa visibilité et se positionner dans l’actualité?
  • Avoir une plus grande reconnaissance publique et financière?
  • Être plus autonome sur le plan financier en sollicitant des contributions publiques ou auprès de divers bailleurs de fonds gouvernementaux ou privés?
  • Pour élargir ses alliances, rayonner dans divers réseaux ou territoires et échanger des expertises?
  • Pour faire reconnaître son utilité publique et ses expertises?
  • Développer une opinion publique favorable ou augmenter sa notoriété?

Pour chacune de ces intentions, il y a une façon différente de s’adresser au public cible.

Le guide Optimiser ses communications (internes et externes) du Centre 1, 2, 3 Go est une bonne référence sur le sujet.

Ce qu’il faut savoir et retenir en matière de communications :

  1. Avoir une image de marque professionnelle et un positionnement clair qui vous distinguent ;
  2. Déterminer les objectifs de communication et le moyen d’évaluer leur impact ;
  3. Adapter le message au public cible ;
  4. Être clair, concis, pertinent, intéressant et persuasif ;
  5. Choisir et produire des outils de communication adéquats à facture professionnelle ;
  6. Avoir un langage ou une orthographe adéquate et impeccable ;
  7. Avoir un échéancier ou connaitre les moments opportuns pour diffuser le message ;
  8. Avoir un plan de communication annuel et un plan d’action cohérent et conséquent ;
  9. Évaluer la portée et l’efficacité du message envoyé -> Réajuster pour les prochains messages.

Lorsqu’on parle de communications interpersonnelles, on parle, entre autres, d’écoute active, dans le respect et la confiance. L’écoute active « permet de s’assurer que l’on a bien compris le message de son interlocuteur et le lui démontrer ». Elle passe par le questionnement et la reformulation. Quelques outils comme « le silence positif » ou « les gratifications psychologiques » peuvent également être utiles pour améliorer son écoute.

Mais, dans les communications interpersonnelles, il n’y a pas que l’écoute. Il y a aussi l’affirmation de soi. Afin de s’assurer que l’affirmation de soi ne brime pas celle des autres, la technique de l’affirmation pacifiée peut être utilisée. Cette attitude vise à apprendre à s’affirmer sereinement, à s’exprimer dans le respect de ses convictions en acceptant la recherche de compromis ou les contradictions, tout en trouvant un équilibre entre ses besoins et ceux des membres de son équipe.

Plusieurs techniques de communication peuvent soutenir l’affirmation pacifiée en situations de conflit ou de tension (DESC, écoute active, etc). Cependant, certains besoins peuvent devenir des obstacles à l’affirmation pacifiée. Être conscient.e de ces comportements peut permette un changement d’attitude et contribuer au développement de relations basées sur la confiance et le respect.